Echoes of Ancestral Battles by GALLIC HAMMER Salut katurix ! Ton one man band Gallic Hammer est basé en Suisse. Peux tu nous en dire un peu plus sur la genèse du projet ? Salut Pierre, Tout d'abord, je tiens à te remercier pour cette interview. je me réjouis de répondre à tes questions. Ayant officié longtemps dans divers groupes et projets underground, en tant que batteur, cela faisait longtemps que j'avais envie de créer mon propre projet solo, que je puisse diriger comme bon me semble, au rythme qui me convient . J'aime composer de la musique donc c'était naturel que ça se fasse un jours ou l'autre. Cela a débuté en 2019, sous le nom de Tales Of Invasions. Mon idée initiale était de partir sur un projet viking-epic BM à la Bathory. J'ai donc composé et enregistré une première démo dans la foulée, qui contenait 5 morceaux, dont les pistes "Taïga" et "Fall of The Warrior King()" *qui apparaissent également sur le premier EP de Gallic Hammer...
LES CROCS DU SCRIBE N°40 SPECIAL MALTKROSS CHAPITRE II - ABSYMAL GROWLS OF DESPAIR - DROWNING HOPE - ORGASM THROUGH TORTURE - SONNE & STAHL - MALTKROSS COMPILATION
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NUMÉRO 40 !
Salut a toutes et tous et bienvenue dans ce numéro spécial des Crocs du Scribe. A l'honneur, pour la deuxième fois chez le Scribe, mon partenaire le label Maltkross. Pour rappel, Maltkross fait de l'underground old school aussi bien en Metal que dans des genres comme le Dark Ambient, la Oï ou l'indus (une partie indus qui risque de s'agrandir dans les mois qui viennent). Si vous aviez raté le premier "special Maltkross" pas de souci, vous pouvez le retrouver ici :
Mais Maltkross c'est un label vivant, qui ne cesse de produire de nouveaux albums. Peut être que certains considéreront d'ailleurs que trop de disques sortent de la forge du label, mais peu importe, c'est une fenêtre ouverte vers des groupes que, sans l’intervention de Maltkross, nous n'aurions pas découverts.
Voici donc une selection de sorties récentes du label, commentées par votre Scribe préféré, en espérant vous donner envie de découvrir les groupes cités.
Si tu es allergique à la méditation New Age et ses sonorités "cucul" ou que tu trouves que les chants bouddhistes c'est vraiment trop positif pour toi il existe une solution. Cette solution nous vient de la ville rose, Toulouse, en la personne de Hangsvart, seul "être humain" se cachant derrière l'entité Abysmal Growls Of Despair. Alors AGOD n'en n'est pas à son coup d'essai puisque ce long format sorti l'année dernière est déjà son seizième album en six ans d'existence (!!!) sachant qu'un nouvel album lui a déjà succédé cette année. Si vous êtes comme moi vous aurez du mal à suivre la discographie pléthorique de ces one-man bands qui pullulent. On finit par perdre la boule a essayer de s'accrocher au wagon de leurs sorties. Mais passons au contenu.
Si AGOD est connu pour pratiquer un mix de Funeral Doom et de Drones, cet album est un peu particulier puisqu'il est entièrement constitué de voix. L'ami Hangsvart s'essaie a tous les registres : la déclamation religieuse, le chuchotement malsain, les chœurs virils et gutturaux façon musique orthodoxe russe pas vraiment dédiée à Jesus, les growls façon créature souterraine lovecraftienne, les shrieks Black Metal façon Uruk Hai qui se serait blessé, bref, une variété de vocaux impressionnante dans un but primordial : foutre les jetons. Car le disque dont il est question ici est vraiment coloré en noir profond, plus noir que le noir (c'est comme la lessive Omo en inversé). Un long rituel que l'on devine dédié a quelques entités pas sympa tapies dans l'ombre.
Vous trouverez ici un peu de français, d'anglais mais également du Valhernaaduhn (personnellement je ne connaissais pas). Bon, on va pas se mentir : c'est pas le genre de disque que je vais me passer tous les matins avant d'aller voir les annonces sur Pole Emploi : en effet, le risque de dépression matinale serait trop important. Néanmoins on peut se tester le disque en question pour une soirée thématique occultiste, ça devrait le faire sans problème (évitez le mode solo à la Jon Nodtveidt, ça finit rarement bien). Une oeuvre extrême, réservée aux plus aguerris d'entre vous en matière d'arts noirs.
If you are allergic to New Age meditation and its corny sounds or you find that Buddhist chanting is too positive for you, there is a solution. This solution comes to us from the pink city, Toulouse, in the person of Hangsvart, the only "human being" hiding behind the Abysmal Growls Of Despair entity. So AGOD is not at its trial run since this long format released last year is already its sixteenth album in six years of existence (!!!!) knowing that a new album has already succeeded it this year. If you're like me, you'll have a hard time following the plethoric discography of these one-man bands that are swarming. You end up losing your mind trying to hang on to the wagon of their releases. But let's move on to the content.
If AGOD is known to practice a mix of Funeral Doom and Drones, this album is a bit particular since it is entirely made of voices. Brother Hangsvart tries his hand at all registers: religious declamation, unhealthy whispering, virile and guttural choirs like Russian orthodox music not really dedicated to Jesus, growls like an underground creature, Black Metal shrieks like Uruk Hai who would have hurt himself, in short, an impressive variety of vocals with one main goal: to scare the hell out of the band. Because the record we're talking about here is really colored in deep black, blacker than black. A long ritual that we guess is dedicated to some not nice entities lurking in the shadows. You'll find here some French and English but also some Valhernaaduhn (personally I didn't know it). Well, we're not going to lie to each other: it's not the kind of record I'm going to spend every morning before going to see the ads on Pole Emploi: indeed, the risk of morning depression would be too important. Nevertheless, you can test the record in question for an occultist theme night, it should be fine (avoid the Jon Nodtveidt-style solo mode, it rarely ends well). An extreme work, reserved to the most experienced of you in black arts.
Par un curieux concours de circonstances, cette deuxième galette de chez Maltkross fait aussi dans l'ambient. Mais attention ! Pas l'ambient façon on est cools, tout va bien, viens tirer sur mon tarpé ! Non, le Dark Ambient, le Black Ambient, même, puisque la sombre créature nocturne nommée Drowning Hope se rattache clairement à la scène Black Metal. Ceux qui suivent les crocs du scribe (Vous êtes là ?) ont déjà lu ma chronique du précédent album de Drowning Hope, "The Nightmare Chapter One", et se souviendront de tout le bien que j'en disais.
Si vous ne vous en rappelez plus ou ne l'avez pas lue, la revoilou :
Ce nouvel opus du strasbourgeois est moins fondamentalement noir que le précédent. Il distille un parfum plus "planant", comme une after qui aurait lieu entre les derniers survivants après une apocalypse. Le calme ici est certes présent, mais augure t'il de quelque chose de positif ? Rien n'est moins sûr. Si les nappes de claviers peuvent parfois nous rappeler le Vangelis de Blade Runner, ce n'est sans doute pas un hasard. Comme dans Blade Runner, le monde sonore de Drowning Hope est menaçant, comme une pause avant une nouvelle déflagration.
Comme pour le précédent opus j'ai été subjugué par la beauté du disque, avec une qualité que l'on retrouve ici : Drowning Hope ne cherche pas forcément a nous faire peur, sa musique est descriptive et narrative. La mort a frappé, que reste t'il ?
C'est donc à mi-chemin du rêve et du cauchemar que l'on navigue ici, et l'effet n'en n'est que plus saisissant encore, l'onirisme est réellement présent tout au long de cette oeuvre envoûtante, qui vous pénètre et ne vous quitte plus.
By a curious combination of circumstances, this second Maltkross album is also ambient. But beware! Not this kind of ambient telling "we're cool, it's all right, come and shoot my freak!" No, the Dark Ambient, the Black Ambient even, since the dark nocturnal creature named Drowning Hope is clearly linked to the Black Metal scene. Those who follow the scribe's fangs (Are you there?) have already read my review of Drowning Hope's previous album, "The Nightmare Chapter One", and will remember all the good I said about it.
This new opus from Strasbourg's outfit is less fundamentally black than the previous one. It distills a more "hovering" perfume, like an after-party that would take place between the last survivors after an apocalypse. The calm here is certainly present, but does it augur well for something positive? Nothing is less certain. If the layers of keyboards can sometimes remind us of Blade Runner's Vangelis, it's probably not by chance. As in Blade Runner, the sound world of Drowning Hope is threatening, like a pause before a new explosion.
As with the previous opus, I was captivated by the beauty of the record, with a quality that we find here: Drowning Hope doesn't necessarily try to scare us, its music is descriptive and narrative. Death has struck, what's left?
So it's halfway between dream and nightmare that we navigate here, and the effect is even more striking, the dreamlike quality is really present throughout this bewitching work, which penetrates you and never leaves you.
Ah ! La Harsh Noise ! Quoi de mieux pour animer un dîner entre amis installés dans un loft cosy (fan tutte) ?
Orgasm Through Torture n'a pas de rapport particulier avec la belle berceuse de Cannibal Corpse, non.
C'est d'Espagne que nous vient cet objet destiné a torturer l'auditeur jusqu'à ce que, par surprise, patatras, la jouissance découle de la souffrance !
Ben oui, on est maso ou on ne l'est pas. Côté Scribe, vous le savez, le masochisme est une de mes nombreuses qualités, pour preuve ce dossier special Harsh Noise/Power Electronics que je vous avais amoureusement concocté :
Bref, vu que vous aimez le Scribe d'un amour inconditionnel (les petites culottes que je reçois tous les jours en témoigne, par contre messieurs arrêtez les slips kangourous je ne mange pas de ce pain là, foutre de chienlit !) vous avez lu ce dossier "extrême" et donc, même si vous êtes a la base un simple citoyen de la nation "Metal" (il parait qu'il y en a beaucoup qui suivent le Scribe, je ne sais pas pourquoi ?) vous êtes désormais avisés en matière de Harsh Noise et autres "musiques" ayant pour objectif pervers de vous faire saigner les oreilles.
Non, vous ne mourrez pas du coronavirus, mais bien de l'écoute de ce brûlot extrême de sonorités abrasives.
S., ce jeune espagnol fou, nous a réservé le meilleur du pire dans un genre proche de notre national Vomir ou autres Trou. Il y ajoute en plus un goût prononcé pour le satanisme et les tueurs en série ("the executioner behind the mask") qui plaira aux enfants joyeux les plus "disney" parmi vous.
Attention, j'ai écouté ce disque au casque et je vous le déconseille. Non, vous risqueriez de perdre ce qui vous reste d’ouïe. Remarquez avec vos goûts de chiottes, ce ne serait pas trop grave.
Bref, si vous pensiez que l'Espagne n'était que Paella et musiques roucoulantes et sensuelles, tentez le coup avec OTT, vous risquez d'être surpris. DISQUE EXTRÊME DECONSEILLE AUX FRAGILES.
Ah! Harsh Noise! What better way to liven up a dinner with friends in a cosy loft (fan tutte)?
Orgasm Through Torture has nothing to do with the beautiful lullaby from Cannibal Corpse, no.
It is from Spain that this object comes to us, destined to torture the listener until, by surprise, patatras, the enjoyment comes from suffering!
Well yes, we're either a masochist or we're not. On the Scribe's side, as you know, masochism is one of my many qualities, as proof of this special Harsh Noise/Power Electronics file that I had lovingly concocted for you:
In short, since you love the Scribe with an unconditional love (the panties I receive every day testify to this, on the other hand gentlemen stop the kangaroo briefs I don't eat that bread, damn doggone it!) you've read this "extreme" file and therefore, even if you're basically a simple citizen of the "Metal" nation (it seems that there are many who follow the Scribe, I don't know why...) you're now wise in matters of Harsh Noise and other "musics" with the perverse aim of making your ears bleed.
No, you won't die from the coronavirus, but from listening to this extreme burning of abrasive sounds.
S., this crazy young Spaniard, has reserved for us the best of the worst in a genre close to our national Vomir or other Trou. He also adds a pronounced taste for Satanism and serial killers ("the executioner behind the mask") that will please the most "disney" happy kids among you.
Be careful, I listened to this record with headphones and I don't recommend it. No, you might lose what's left of your hearing. Note with your taste in toiletries, it wouldn't be too serious.
In short, if you thought that Spain was only Paella and cooing and sensual music, try it with OTT, you might be surprised. EXTREME DISC DISADVISED TO THE FRAGILE ONES.
Ach ! Schöne ! Deutschland sera toujours Deutschland ! Vous allez vite comprendre qu'ici on ne parle pas vraiment d'un groupuscule d'extrême gauche.
Les allemands (ou l'allemand ?) de Sonne & Stahl semblent bien être nostalgiques d'une époque que je n'ai pas connu et donc que je me garderais bien de commenter (de plus, personnellement, la seule période dont je suis nostalgique était celle où je pouvais fumer des pétards sans faire de crises d'angoisse).
Musicalement le combo nous entraîne en territoire Martial et Néoclassique, a savoir des percussions bien droites dans leurs bottes, des choeurs virils mais mélodieux et un certain goût pour le grandiose.
Hormis les samples vintage célébrant le Duce (que je n'ai pas connu personnellement non plus, a l'époque je fumais des joints) qui sont un peu pénibles, comme le sont toujours ces intermèdes façon actualités des années 40, Sonne & Stahl produit une musique plutôt belle et fascinante, d'une grande froideur, qui pourra rappeler par instants les premiers Laibach.
Bref, si le côté politisé de la chose ne vous défrise pas trop vous saurez apprécier cette bande originale de guerre, certes peu encline a la sympathie universelle façon John Lennon & Yoko Ono (oui, avant je fumais des joints etc.) et vous vous laisserez emporter par ces belles plages ambient qui succèdent a des titres plus saccadés et quasiment dansants.
Ach! Schöne! Deutschland will always be Deutschland! You'll soon understand that we're not really talking about a left-wing extremist group here.
The Germans (or the German?) of Sonne & Stahl seem to be nostalgic for a time that I didn't know and that I wouldn't want to comment on (moreover, personally, the only period I'm nostalgic for was the one where I could smoke firecrackers without having anxiety attacks).
Musically, the combo takes us into Martial and Neoclassical territory, with straight percussions in their boots, virile but melodious choirs and a certain taste for the grandiose.
Apart from the vintage samples celebrating the Duce (which I didn't know personally either, at the time I smoked joints) which are a bit painful, as are always these 40's news interludes, Sonne & Stahl produces a rather beautiful and fascinating music, of a great coldness, which will be able to remind us for a while of the first Laibach's works.
In short, if the politicized side of the thing doesn't make you feel uncomfortable, you'll appreciate this war soundtrack, certainly not inclined to universal sympathy like John Lennon & Yoko Ono (yes, I used to smoke joints etc.) and you'll let yourself be carried away by these beautiful ambient tracks that follow more jerky and almost dancing tracks.
Tu aimes le Metal baveux qui pue sous les aisselles ? Le genre de son imbibé par les années 80 et la bibine ? Sois donc bienvenue dans cette célébration orgiaque de Black/Death/Punk crado et patibulaire. Au programme ? Atomizer et leur Black/Thrash punky made in Australie, les blackeux crasseux et aussi très punk d'Attentat, venus de Norvège et auteurs d'une unique tape en 2010, les portugais de Decayed et leur baptême morbide, les américains de Desolator et leur Black Metal tellement old school qu'il ferait passer Hellhammer pour une nouveauté. Et c'est comme ça avec 23 groupes ! Que du bon, du jouissif, du Metal qui n'oublie jamais d'être rock'n'roll et burné, ça swingue a donf comme disent les jeunes de 80 balais.
Saches que, si tu veux taper dans le "encore plus pur, encore plus old school", les premières compilations de Maltrkoss sont sorties en format cassette et contiennent le même lot d'immondices Black/Thrash/Death/Punk antédiluviens. Bref, quand tu satures des nouveautés insipides, viens te plonger dans ces compiles, tu vas trouver de quoi de ressourcer !
Do you like metal slime that stinks under your armpits? The kind of sound that's soaked through with '80s booze? So welcome to this orgiastic celebration of Black/Death/Punk dirty and patibular. What's on the agenda? Atomizer and their punky Black/Thrash punky made in Australia, the filthy and also very punk blackeys of Attentat, from Norway and authors of a single tape in 2010, the Portuguese of Decayed and their morbid baptism, the Americans of Desolator and their Black Metal so old school that it would make Hellhammer look like a novelty. And that's how it is with 23 bands! Only good, enjoyable, Metal that never forgets to be rock'n'roll and burly, it swings like the young people of 80 say.
If you want to type in "even purer, even older school", Maltrkoss' first compilations were released in cassette format and contain the same batch of antediluvian Black/Thrash/Death/Punk trash. In short, when you saturate yourself with insipid novelties, come and immerse yourself in these compilations, you'll find something to recharge your batteries!
INTERVIEW VINDSVAL OCT 2019 "Je ne peux pas me contenter du hasard ou du non-sens, mon esprit refuse complètement cette idée dont beaucoup semblent aujourd'hui s’accommoder" (Vindsval) William Sheller chante qu'il veut être un homme heureux...je ne sais pas si c'est possible, mais en tout cas, pour moi, avoir le privilège de cette interview est une des choses qui se rapprochent le plus du bonheur. C'est la deuxième fois que le maestro se confie a moi, et cette fois encore plus longuement. C'est sans doute son interview la plus intime, la plus personnelle, et, selon ses mots, probablement la dernière qu'il donnera, l'homme préférant la solitude du créateur. Une dernière fois donc, et ceci nous a permis d'aborder l'enfance de Vindsval, son rapport a l'art, a l'esthétique, au showbiz, la philosophie, la poésie, la lumière, l'histoire...et le black metal, bien sûr. Bref, sans doute la meilleure interview que j'ai eu l'oppor...
Olivier Déhenne Premières Fois Nouvelles 2019 L'Age d'Homme - Collection Contemporains Olivier Déhenne ? si, comme moi, vous possédez quelque bagage culturel en termes de musiques sombres et underground, vous devez connaître l'oeuvre d'Eros Necropsique, entité étrange et noire, dont les textes poétiques dévoilent depuis plusieurs décennies un romantisme macabre réunissant comme il se doit les pulsions de vie et de mort d'Eros et de Thanatos, conjugués dans un écrin musical gothique. Ce n'est pas d'Eros Necropsique que je vais ici vous entretenir, ni même d'ailleurs de musique, puisqu'il se trouve qu'Olivier Déhenne est également écrivain. Après un premier roman sous forme de journal intime - Les Miasmes de La Claustration - c'est ici sous la forme du recueil de nouvelles que la plume d'Olivier est venue se plonger dans le sang et les liquides corporels les plus divers. Cela va de soi, ces nouvelles ne sont pas destinées aux âmes sen...
Nicolas Claux : Put The Fun In Funeral, une/an interview avec/with Le Scribe Du Rock "Peuple de France, le gouvernement te ment. Si j’ai appris une chose dans les morgues, c’est que ton espérance de vie se raccourcit à vue d’œil. Cancers, AVC, diabète, et désormais virus de plus en plus virulent, ton compte à rebours est déclenché. Achète un Bundyldo avant qu’il ne soit trop tard" (Nicolas Claux) S'il est vrai que Nicolas Claux (ou Castelaux comme nom de plume selon les cas) a commencé sa carrière à la rubrique faits divers (profanations de sépultures, cannibalisme, utilisation du sang comme "drink" et finalement meutre) il a commencé une deuxième vie après des années d'incarcération. Se découvrant une passion assez logique pour le metier d'agent mortuaire, qu'il a pratiqué de nombreuses années, il est aujourd'hui directeur de collection chez Camion Noir (le pendant "macabre" du Camion Blanc), mais aussi patron du site de murderabilia...
WINTERMOON Cold Sky Rising 2023 Black Metal Epique Oui, "winter moon" est bien le titre d'un morceau d'Immortal, et cela n'est pas un hasard. Cet album aux tonalités glaciaires impose Wintermoon comme digne successeur de l'Immortal le plus épique et du Bathory de l'ère Blood, Fire, Death. Il serait pourtant trop simple de limiter la description de ce premier album (après deux Eps) à du name-dropping. J'avoue avoir été soufflé par la qualité des compostions de Cold Sky Rising ! Les neuf titres qui composent cet album sont le fruit inspiré du travail de Gryp, musicien accompli. Ainsi, loin du salmigondis infâme que peuvent générer certains groupes "underground" nous nous retrouvons ici face à un disque très abouti, porté par un black metal épique et majestueux, habité de riffs inspirés aux colorations heavy/black et créant une envie irrépressible de l'écouter encore et encore. Les soli aussi, chose rare de nos jours, nous entrainent et...
ATTENTION ! Groupe avec humour ! Quand j'ai décroché l'interview qui suit avec l'ami Albatard (le bassiste, vous savez, le mec qui accompagne les musiciens partout 😂 ) je n'avais qu'une inquiétude : qu'il déconne tellement qu'il ne réponde pas à mes questions. Alors, rassurez-vous, en ces jours gris, l'humour de l'ami est bien là, et ça fait vraiment du bien, mais il a eu la gentillesse de jouer vraiment le jeu de cette interview rétrospective où nous revenons en détail sur 20 ans de Gronibard ! Et puis ne vous inquiétez pas, on rendra aussi un bel hommage à Corbier...Et en plus il y a du scoop dans l'air, comme disent les journalisses, Gronibard attendraient un nouveau bébé !! Vous êtes devenus un des groupes les plus importants du grindcore en France, et les fondateurs d’un grind «rigolo » et potache, très axé sur les histoires de fesses. Pouvez-vous nous rappeler un peu les conditions de la naissance du groupe et pourquoi ...
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