War Black Metal
Oh bordel de pompe a couilles de truie engrossées par des lutins vérolés ! m'écriais-je, a peu près, à la première écoute de ce démoniaque condensé de haine brute prête a dépoter le premier prêtre venu (un rabbin ou un imam pouvant aussi faire l'affaire).
Ces dignes représentants du War Metal (pour ceux qui ne connaîtraient pas encore, un mélange absolument bestial et hideux de Black Metal et de Death Metal avec du Thrash dedans et un esprit pervers savamment aiguisé mais merde vous connaissez pas Blasphemy ou Beherit ?) savent mieux que personne le plaisir de faire couler une pluie de Napalm sur vos gueules. Bon, allez, il est vrai qu'à l'écoute dangereuse de cet immonde opus on pense aussi à Marduk à l'époque de Legion, Bestial Warlust ou Conqueror, sans oublier les maîtres Gorgon qui ont donné une belle leçon de brutalité et de bestialité sur leur dernier album.
Excruciate 666 existent depuis 1994 (Nom de Dieu de l'anulingus du Christ !), eh oui, déjà 25 ans au compteur pour ces chtis sans peur et sans reproches qui ravagent depuis les scènes de France et de Navarre.
Servi de plus par une pochette assez extraordinaire, oeuvre de l'artiste œuvrant sous le nom de Temple of Kalighat Arts (péruvienne si j'ai bien pigé), ce "Porkus Filth's Crusher" est un album a découvrir et a savourer comme un bon saucisson (pas moi je suis végétarien mais on s'en branle) : du Metal, du vrai, avec du rock'n'roll dedans. Car les gars ne font pas que dans la boucherie charcuterie (en fait plus la charcuterie en référence aux cochons) façon Impaled Nazarene des débuts mais savent aussi varier leurs titres, évitant ainsi l’Écueil dans lequel tombent beaucoup de combos de War Metal en quête de la brutalité ultime. Le tempo, bien que très souvent dans le rouge (mais jouant avec des beats aussi bien blastés que des beats Thrash) sait aussi se faire mid-tempo par moments pour aider les compos a respirer. Attention, ça reste du brutal, du sévère ! Et ce disque ne s'adresse pas aux mous du genou ! Mais Excruciate 666 connaissent bien la musique, et leurs racines Thrash/Death les aident bien a savoir rendre une compo efficace.
A l'arrivée on se retrouve avec huit titres barbares qui passent très (trop) vite et on n'a qu'un réflexe : ré-appuyer sur PLAY ! Essayez, vous verrez bien !
Oh for fuck's sake, sow's balls knocked up by pocked-up elves! I cried out to myself, about the first time I listened to this condensed demonic of raw hatred ready to depot the first priest who came (a rabbi or an imam could also do the trick).
These worthy representatives of War Metal (for those who don't know yet, an absolutely bestial and hideous mix of Black Metal and Death Metal with some Thrash inside and a perverse mind cleverly sharpened but shit, you don't know Blasphemy or Beherit?) know better than anyone else the pleasure of making Napalm rain down on your faces. Well, come on, it's true that when listening to this dangerous opus, we also think of Marduk at the time of Legion, Bestial Warlust or Conqueror, without forgetting the Gorgon masters who gave a nice lesson of brutality and bestiality on their last album.
Excruciate 666 exist since 1994 (God's name of the anilingus of Christ!), eh yes, already 25 years on the counter for these fearless and blameless chtis who ravage since the scenes of France and Navarre.
Served moreover by a rather extraordinary cover, work of the artist working under the name of Temple of Kalighat Arts (Peruvian if I understood well), this "Porkus Filth's Crusher" is an album to discover and to savour like a good sausage (not me I'm vegetarian but who cares): Metal, real, with rock'n'roll inside. Because the guys don't only do butchery (actually more like delicatessen in reference to pigs) in the way Impaled Nazarene did at the beginning, but they also know how to vary their tracks, thus avoiding the Pitfall into which many War Metal combos fall in search of the ultimate brutality. The tempo, although very often in the red (but playing with blasted beats as well as Thrash beats) can also be mid-tempo at times to help the compositions breathe. Beware, it's still brutal and severe! And this record isn't for the knee-soft ones! But Excruciate 666 know the music well, and their Thrash/Death roots help them to know how to make an efficient composition.
At the end, we find ourselves with eight barbaric tracks that pass very (too) fast and we have only one reflex: to play again on PLAY! Try it, you'll see!
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