SANCTUARY
Resilience
2020
ELLIE PROMOTION / SEASON OF MIST
Symphonic Blackened Death Metal and more !
SORTIE LE 27/11
Sanctuary est un groupe parisien qui oeuvre depuis 2006 a peaufiner un death metal symphonique aux ambiances black, et qui ne fait que diversifier et enrichir son propos. La preuve avec ce sublime album, Resilience, le deuxième du groupe, qui verra le jour le 27 Novembre...
Tout d'abord, il est important de souligner une chose : l'album en question s'affine d'écoutes en écoutes. Si l'on est d'abord frappé par la majesté et la puissance de leur blackened death metal symphonique (on pense tour a tour a Behemoth, Carach Angren, Dimmu Borgir, Cradle version 90's pour certaines parties de claviers) on se rend compte au fur et à mesure que le trio va aussi chercher son inspiration sur des territoires moins courus : des parties acoustiques/progressives dignes d'un Opeth des grands jours, par exemple. Mais foin de comparaisons, Sanctuary propose ici un album personnel, qui sait osciller entre puissance et mélodie, douceur et punch. La production de Frédéric Gervais au Studio Henosis, est, comme toujours, somptueuse, et sert parfaitement l'aspect grandiose de la musique du groupe. Chant death profond, guitares qui oscillent entre death et thrash, voire heavy par moments, un batteur ultra polyvalent, des claviers inspirés qui ramènent vers le black sympho de la fin des années 90, un joli cocktail agrémenté comme je le disais de passages plus doux, acoustiques et narratifs, qui renforcent l'impact et la diversité de l'ensemble.
Les sept titres de l'album, plutôt longs et complexes, ne sont jamais ennuyeux car le groupe, plutôt que d'enfiler les riffs comme un Metallica des mauvais jours, a l'intelligence de semer des ambiances quasi jazzy, avec piano et guitares claires et acoustiques, qui viennent susciter une atmosphère toute particulière. Au niveau thématique, la résilience d'un personnage qui passe par toutes les couleurs de l'enfer terrestre pour ensuite, enfin, apercevoir un bout de lumière au bout du tunnel.
Si vous aimez la puissance du death metal, la grandiloquence du black metal symphonique bien produit, la richesse du metal progressif et les variations acoustiques et mélodiques, vous devriez être emportés par cet album que l'on apprécie un peu plus a chaque passage sur la platine, ce qui est le signe que l'on a affaire a du lourd ! Bravo messieurs pour cette belle oeuvre qui va hanter nos platines pendant un bon moment encore !
Sanctuary is a Parisian band which works since 2006 to refine a symphonic death metal with black atmospheres, and which only diversifies and enriches its purpose. The proof with this sublime album, Resilience, the second of the band, which will be released on November 27th...
First of all, it is important to underline one thing: the album in question is refined from listening to listening. If we are first struck by the majesty and power of their symphonic blackened death metal (we think in turn of Behemoth, Carach Angren, Dimmu Borgir, Cradle 90's version for some keyboards parts) we realize as the trio is also looking for inspiration on less popular territories: acoustic/progressive parts worthy of an Opeth of the great days, for example. But hay of comparisons, Sanctuary proposes here a personal album, which knows how to oscillate between power and melody, softness and punch. Frédéric Gervais' production at Studio Henosis, is, as always, sumptuous, and perfectly serves the grandiose aspect of the band's music. Deep death vocals, guitars that oscillate between death and thrash, even heavy at times, an ultra versatile drummer, inspired keyboards that bring back to the symphonic black metal of the late 90's, a nice cocktail embellished as I said with softer, acoustic and narrative passages that reinforce the impact and diversity of the whole.
The seven tracks of the album, rather long and complex, are never boring because the band, rather than threading the riffs like a Metallica of bad days, has the intelligence to sow almost jazzy atmospheres, with piano and clear and acoustic guitars, which come to create a very particular atmosphere. On a thematic level, the resilience of a character who goes through all the colors of the earthly hell and then, at last, catch a glimpse of a piece of light at the end of the tunnel.
If you like the power of death metal, the grandiloquence of well-produced symphonic black metal, the richness of progressive metal and the acoustic and melodic variations, you should be swept away by this album that you appreciate a little more with each passage on the turntable, which is a sign that you're dealing with something heavy! Congratulations gentlemen for this beautiful work that will haunt our turntables for a long time to come!
à en juger par ce seul titre , c' est une bien elle tuerie sonore !!! keep the old spirit alive ...
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